Thèse de Master de l'année 2011 dans le domaine Didactique du français - Litérature, uvres, note: A, University of North Texas (World Languages), cours: French - Modern poetry, langue: français, résumé: Etude comparative et intertextuelle sur le thème des "fenêtres" dans quatre poèmes de Charles Baudelaire, Stéphane Mallarmé, Marie Krysinska et Guillaume Apollinaire.
Charles Baudelaire (1821-1867), Stéphane Mallarmé (1842 -1898), Marie Krysinska (1857-1908) et Guillaume Apollinaire (1880-1918) prennent pour thème « les fenêtres » dans leur poésie. Cette thématique commune permet une étude comparative et intertextuelle à partir des quatre poèmes suivants : (1) « les fenêtres » de Charles Baudelaire dans « Le Spleen de Paris XXXV », 1863. (2) « Les fenêtres » de Stéphane Mallarmé dans « Le Parnasse Contemporain », 1863/66. (3) « les fenêtres » de Marie Krysinska dans « Rythmes Pittoresques », 1890. (4) « les fenêtres » de Guillaume Apollinaire dans « Calligrammes », 1913-1916.
L'étude porte sur ce qui distingue ces quatre textes en suivant l'évolution des formes poétiques entre symbolisme et futurisme/surréalisme. Le thème commun (« les fenêtres ») permet en effet de mieux souligner l'hétérogénéité formelle qui sépare ces différentes « voies poétiques » : avec Baudelaire, la nouveauté du poème en prose ; avec Mallarmé, le renouvellement symboliste d'une forme plus classique ; avec Apollinaire, une forme simultanéiste inspirée du futurisme. L'analyse comparative permet de mettre en valeur l'originalité du poème de Krysinska dont l'ouvre n'a guère retenu l'attention de la critique.
Thèse de Master de l'année 2011 dans le domaine Didactique du français - Litérature, ¿uvres, note: A, University of North Texas (World Languages), cours: French - Modern poetry, langue: français, résumé: Etude comparative et intertextuelle sur le thème des "fenêtres" dans quatre poèmes de Charles Baudelaire, Stéphane Mallarmé, Marie Krysinska et Guillaume Apollinaire.
Charles Baudelaire (1821-1867), Stéphane Mallarmé (1842 -1898), Marie Krysinska (1857-1908) et Guillaume Apollinaire (1880-1918) prennent pour thème « les fenêtres » dans leur poésie. Cette thématique commune permet une étude comparative et intertextuelle à partir des quatre poèmes suivants : (1) « les fenêtres » de Charles Baudelaire dans « Le Spleen de Paris XXXV », 1863. (2) « Les fenêtres » de Stéphane Mallarmé dans « Le Parnasse Contemporain », 1863/66. (3) « les fenêtres » de Marie Krysinska dans « Rythmes Pittoresques », 1890. (4) « les fenêtres » de Guillaume Apollinaire dans « Calligrammes », 1913-1916.
L'étude porte sur ce qui distingue ces quatre textes en suivant l'évolution des formes poétiques entre symbolisme et futurisme/surréalisme. Le thème commun (« les fenêtres ») permet en effet de mieux souligner l'hétérogénéité formelle qui sépare ces différentes « voies poétiques » : avec Baudelaire, la nouveauté du poème en prose ; avec Mallarmé, le renouvellement symboliste d'une forme plus classique ; avec Apollinaire, une forme simultanéiste inspirée du futurisme. L'analyse comparative permet de mettre en valeur l'originalité du poème de Krysinska dont l'oeuvre n'a guère retenu l'attention de la critique.